L’on a pu apprécier les qualités de chambriste de Jean-Michel Dayez en 2013 dans un programme Janáček, le voici dans Bach, seul, au piano. Il y alterne chorals, fantaisies, fugues, inventions et le merveilleux concerto italien. Un concert délibérément placé en prélude à la première du spectacle Tauberbach du chorégraphe Alain Platel, présenté dans la Grande salle – Bach y est omniprésent, sous les formes les plus inventives. Le doublé est fortement recommandé !
Avec
Jean-Michel Dayez piano