Deux clarinettes basses se font face à quatre mètres de distance. D’un art aussi dépouillé que parfaitement entendu, Apoklisis fait circuler en stéréophonie artisanale quelques objets élémentaires (pulsation, vagues de wah-wah, petites gammes descendantes…). Beauté du dénuement et discrète ironie : un petit joyau de poésie matérialiste.
Beat Fürrer
Apoklisis
Avec
Solistes de l’Ensemble Ictus
Dirk Descheemaeker & Benjamin Dieltjens clarinettes
Jean-Luc Plouvier commentaire