Regard lucide sur la destinée humaine, aux confins du rêve et de la réalité, le Pierrot Lunaire de Schönberg marque un tournant dans l’histoire de la musique occidentale : utilisant les voix à la limite du parlé-chanté, Schönberg innove en réunissant un groupe inhabituel d’instruments qui fera référence.
Arnold Schönberg (1874-1951)
Pierrot Lunaire
Avec
Tomoko Taguchi voix
Caroline Peeters flûte et piccolo
Evy Van Dongen clarinette et clarinette basse
Pieter Jansen violon et alto
Benjamin Glorieux violoncelle
Tomoko Honda piano
François Deppe (soliste de l’ensemble Ictus) direction et présentation
Un programme proposé par Ictus, ensemble en résidence à l’Opéra de Lille, avec le concours de la Chapelle Musicale Reine Elisabeth.