Avant l’avènement du quatuor à cordes dans la forme classique que nous connaissons, l’écriture à quatre voix était plutôt réservée à l’orchestre. Quelques compositeurs ont pourtant poussé l’investigation vers cette forme dès l’aube du XVIIIe siècle : Telemann en quête d’une grâce nouvelle, prémices du style galant, qui mènera au sentimentalisme de Janitsch ou Graun ; Goldberg, lui, assume son héritage dans des constructions contrapuntiques éblouissantes…
Avec
Matthieu Camilleri, Yuki Koike violons
Michel Renard alto
Paul Carlioz violoncelle
Violaine Cochard clavecin