Dans Z3, dernière en date des Lettres Soufies, l’ordinateur s’empare de fragments produits par le tromboniste pour l’encercler d’une lancinante spirale de canons à différentes échelles avant que tout ne s’effrite. « Z3 a été conçue à Jérusalem, dans le brouhaha contrasté des religions monothéistes, empilement des confessions et des temples, où l’équilibre semble ne pouvoir procéder que du vertige », en dit le compositeur.